22 novembre 2009

L'ombre du vent



Quatrième de couverture

Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, " ville des prodiges " marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d'occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y " adopter " un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets " enterrés dans l'âme de la ville " : L'Ombre du Vent. Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l'Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie.


Je viens de lire un avis de lectrice ici

Je suis tout à fait d'accord avec ce qu'elle dit. Durant toute cette lecture, j’ai été partagée entre le désir de dévorer ce roman pour suivre le rythme effréné de l’intrigue et en même temps l’envie de ralentir pour faire durer plus longtemps ce plaisir.

Je suis même revenu sur ma lecture sur des passages où j'avais l'impression dêtre passé trop vite.

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