23 août 2011

Le silence des géants

Quatrième de couverture

"Sac sur le dos, Julie marchait sur une poutrelle comme une funambule. Des phares balayèrent le pont métallique, dévoilant son visage rougi par le froid. La vibration la fit sursauter. Son mobile sonnait dans sa poche ; un énième appel sans écho. Elle plissa les yeux et continua d'avancer sur le parapet, bras écartés. Rien de plus important pour elle que le dossier dans la chemise cartonnée, surtout la lettre. L'avenir de trois personnes se trouvait entre ses mains..." Lorsqu'il était étudiant, le père de Julie a laissé pour mort un jeune routard tombé d'une falaise en forêt au retour d'une fête bien arrosée. L'homme a été sauvé, mais il a perdu la mémoire. Il réapprend lentement à vivre, obsédé par son passé évanoui. Des années plus tard, une lettre révèle ce drame à Julie. À l'insu de ses parents, elle part à la recherche de cet homme. Saura-t-elle le retrouver et lui rendre son passé ?

Un livre pour la jeunesse mais assez intéressant ici

La classe du brevet

"Rémi Lagrange, son sac d'écolier sur le dos, pédalait de toutes ses forces contre le vent qui lui soufflait à la figure les premières gouttes de pluie. C'était un matin d'octobre 1948, sur la route de la Forge à Réverac-en -Périgord. Rémi avait quatorze ans et demi, il venait d'entrer dans la classe du brevet.
Le brevet du nouveau programme au nom inquiétant et barbare, BEPC, qui remplaçait le bon vieux brevet élémentaire. C'est bien ma chance, songeait-il, de passer en trimestre juste pour essuyer les plâtres du nouvel examen ! Mais Rémi ne regrettait pas l'ancien brevet, tellement difficile. Et puis une époque merveilleuse commençait, sous le signe de l'Amérique, des avions à réaction et des soucoupes volantes, sans oublier la fin des restrictions et Cerdan champion du monde : un nouveau brevet pour les garçons et les filles qui verraient l'an 2OOO - s'ils vivaient assez vieux --, ce n'était que justice..
L'après-guerre, l'école publique contre l'école privée, la ferveur des profs d'antan... Michel Jeury donne une peinture juste et colorée d'un univers cher à la mémoire collective. Il décrit aussi avec humour et poésie, les tourments sentimentaux de ses jeunes héros qui, à "l'âge où les cœurs s'éprennent" n'accordent pas toujours l'attention qu'ils devraient aux joutes sans merci de l'algèbre et de l'orthographe…
"


Après deux livres lus pendant mes vacances et dont je ne me souviens même plus, j'ai bien aimé les petites histoires, un peu mesquines parfois voir

01 août 2011

L'ombre de ton sourire

Présentation de l'éditeur :
A l’heure où les petits-neveux du docteur Alex Gannon, qui vient de mourir, se disputent son fabuleux héritage, Olivia Morrow doit-elle révéler le terrible secret qu’elle est désormais la seule à connaître ?
N’est-ce pas renier la promesse faite à sa cousine Catherine et trahir sa mémoire que de révéler l’existence de sa petite-fille Monica ? Qui pourrait en effet soupçonner sœur Catherine, nonne en voie de béatification, d’avoir, à dix-sept ans, eu un enfant d’Alex, et de l’avoir abandonné ? Dévoiler ce qu’Alex lui-même ignorait, c’est mettre en danger la vie de la jeune fille.
Un énorme héritage est en jeu. Car Alex Gannon, le père de l’enfant, qui ignorait tout du destin de son fils, a laissé à sa mort une fortune colossale que ses petits neveux, âpres au gain, se disputent déjà. Ils sont prêts à tout pour empêcher l’héritière légale d’Alex, Monica Farrell, fille de l’enfant que le milliardaire a eu avec Catherine, de toucher l’héritage… En dévoilant son secret, Olivia non seulement rompt la promesse faite à sa cousine, mais met en danger sa vie et celle de Monica…
Un formidable suspense où la grande Mary Higgins Clark entrelace avec science, foi et quête d’identité dans une course haletante contre la mort.