25 décembre 2009
Tom Grean à la porte d'ébène
22 novembre 2009
L'ombre du vent
Quatrième de couverture
Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, " ville des prodiges " marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d'occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y " adopter " un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets " enterrés dans l'âme de la ville " : L'Ombre du Vent. Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l'Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie.
Je viens de lire un avis de lectrice ici
Je suis tout à fait d'accord avec ce qu'elle dit. Durant toute cette lecture, j’ai été partagée entre le désir de dévorer ce roman pour suivre le rythme effréné de l’intrigue et en même temps l’envie de ralentir pour faire durer plus longtemps ce plaisir.
Je suis même revenu sur ma lecture sur des passages où j'avais l'impression dêtre passé trop vite.
Le seigneur des porcheries
Le nom de la rose
"Guillaume enfila les mains dans sa coule, qui s'ouvrait sur sa poitrine pour former une poche, et en retira un objet que je lui avais déjà vu dans les mains, et sur son visage, au cours du voyage. C'était une fourche construite de manière à pouvoir tenir sur le nez d'un homme (et mieux encore sur le sien, si proéminent et aquilin) comme un cavalier se tient sur la croupe de son cheval ou comme un oiseau sur un juchoir. Et de chaque côté de la fourche, de façon à correspondre aux yeux, s'arrondissaient deux cercles ovales de métal, qui enserraient deux amandes de verre épaisses comme des fonds de chope. Guillaume lisait de préférence avec cela sur les yeux, et disait y voir mieux que nature ne l'avait doué, ou que son âge avancé, surtout au déclin du jour, ne le lui permettait. Ces verres ne lui servaient pas à voir de loin, car son regard était des plus aigus, mais à voir de près. Grâce à eux, il pouvait lire des manuscrits aux lettres minuscules, que je peinais presque à déchiffrer moi-même. Il m'avait expliqué que, lorsque l'homme était arrivé au-delà de la moitié de la vie, même si sa vue avait toujours été excellente, son œil durcissait et renâclait à adapter la pupille, à telle enseigne que de nombreux savants étaient comme morts à la lecture et à l'écriture après leur cinquantième printemps. Grave malheur pour des hommes qui auraient pu donner le meilleur de leur intelligence pendant nombre d'années encore. Raison pour quoi il fallait louer le Seigneur que quelqu'un eût découvert et fabriqué cet instrument. Et il me disait cela pour soutenir les idées de son Roger Bacon affirmant que le but du savoir était aussi de prolonger la vie humaine.
Les autres moines regardèrent Guillaume avec beaucoup de curiosité, mais ne risquèrent aucune question. Et de mon côté, je m'aperçus que, fût-ce dans un lieu aussi jalousement et orgueilleusement consacré à la lecture et à l'écriture, cet admirable instrument n'avait pas encore pénétré. Et je me sentis fier d'accompagner un homme qui avait en sa possession quelque chose digne d'étonner d'autres hommes fameux dans le monde pour leur sagesse."
Harry Potter
les enfants de la terre
Le long périple d'Ayla et de Jondalar touche à son terme. Après un long voyage épique à travers l'Europe, les deux héros de la grande saga "Les Enfants de la Terre" arrivent à l'emplacement de la Neuvième Caverne, un camp de l'âge de pierre, situé dans ce qu'on appellera de nombreux millénaires plus tard le Périgord. C'est là que Jondalar retrouve la tribu qui l'a vu naître, et qui se réjouit de son retour. L'accueil fait à l'étrangère qui l'accompagne est plus mitigé. Cette femme parle avec un accent curieux et, surtout, est suivie par un loup et deux chevaux sur lesquels elle exerce un pouvoir troublant. Mais, si la rescapée du Clan étonne les Zelandonii, ceux-ci la surprennent tout autant par leur façon de vivre dans leurs confortables abris-sous-roche et par la splendeur des peintures dont ils ornent leurs grottes. Alors qu'elle donne naissance à un enfant très attendu, la jeune femme prend conscience du rôle qu'elle est appelée à jouer dans la destinée des Zelandonii...
23 juin 2009
03 avril 2009
apprentissage du rock
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